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gpt-5-1[edit | edit source]
User: La commune de Bois-le-Roi 77590 est assujetie aux dispositions de la loi SRU depuis le 1er janvier 2021.[edit | edit source]
La commune de Bois-le-Roi (77590) est assujetie aux dispositions de la loi SRU depuis le 1er janvier 2021. Pour faciliter la réalisation des objectifs de production de logements imposés par cette loi, la municipalité a introduit dans son plan local d'urbanisme un secteur de mixité sociale (de l'article L151-15 du Code de l'urbanisme), s'appliquant à toutes les zones urbaines, imposant que toute opération de construction de logements collectifs comprennent un quota d'au moins 80% de logements sociaux. Un tel secteur de mixité est-il de nature à favoriser la production de logement sociaux ?
Assistant: Voici une réponse claire, structurée et juridiquement rigoureuse à votre question.[edit | edit source]
Voici une réponse claire, structurée et juridiquement rigoureuse à votre question.
La création d’un secteur de mixité sociale fondé sur l’article L151-15 du Code de l’urbanisme peut en théorie contribuer à orienter la production de logements sociaux.[edit | edit source]
Mais un quota aussi élevé que 80 %, appliqué à toutes les zones urbaines et à toute opération de logements collectifs, produit souvent l’effet inverse de celui recherché.
L’objectif affiché par la commune est clair :[edit | edit source]
→ contraindre les promoteurs à produire massivement du logement social, afin d’atteindre les obligations SRU (25 % de logements sociaux).
L’article L151-15 autorise effectivement la commune à imposer un pourcentage minimal de logements sociaux dans des secteurs délimités du PLU.
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Pour un promoteur, une opération doit être équilibrée financièrement. Or, les logements sociaux sont vendus aux bailleurs sociaux à prix plafonnés, très inférieurs au prix du marché.
À 80 % de logements sociaux :
- La partie « libre » (20 %) devient trop faible pour compenser financièrement les prix bas du social.
- Le risque financier augmente fortement.
- Les promoteurs renoncent à acheter du foncier dans la commune.
👉 Résultat : les opérations ne se font pas, donc la production de logements sociaux chute.
Dans les communes SRU, les secteurs de mixité efficaces se situent le plus souvent entre 20 % et 40 %, rarement au-delà. Au-delà de 50-60 %, les études économiques montrent une quasi-impossibilité de monter des projets.
Un secteur aussi contraignant fait mécaniquement baisser l’intérêt des opérateurs pour le foncier :[edit | edit source]
- moins de concurrence sur les terrains,
- impossibilité pour certains propriétaires de vendre au prix espéré,
- blocage complet de projets potentiels.
👉 Cela réduit encore davantage la capacité de production, y compris sociale.
Le dispositif vise toutes les zones urbaines et toute opération de logements collectifs.[edit | edit source]
Cela supprime la flexibilité nécessaire à une stratégie de production efficace, qui repose normalement sur :
- la mobilisation des secteurs proches des services,
- la diversité typologique (petits collectifs, intermédiaires, densification ponctuelle),
- l’équilibre entre social et accession.
Un taux uniforme et très élevé ne permet aucune adaptation aux contraintes locales.
Les communes ayant tenté d’imposer des quotas très élevés (supérieurs à 60 %) ont généralement constaté :[edit | edit source]
- un effondrement du nombre de permis de construire,
- un recul de la production de logements sociaux, faute d’opérations viables,
- parfois même une aggravation de leur déficit SRU, car le mécanisme devient contre-productif.
Autrement dit : plus l’exigence est excessive, moins les logements sociaux se construisent.
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- il bloque le marché,[edit | edit source]
- décourage les promoteurs,
- réduit la production globale de logements, y compris sociaux,
- et peut empêcher la commune d’atteindre les objectifs SRU.
En l’état, un tel dispositif n’est donc pas de nature à favoriser la production de logements sociaux ; il tend au contraire à la freiner.
Si vous le souhaitez, je peux également vous fournir :
✅ une analyse juridique des risques (annulation du PLU, disproportion du quota, détournement de procédure, etc.) ✅ une comparaison avec les pratiques d’autres communes SRU ✅ un schéma ou une infographie expliquant les effets économiques d’un quota trop élevé
Souhaitez-vous l’un de ces compléments ?
User: Peux-tu présiser pourquoi les opérations deviennent impossible avec 80% de logement sociaux ?[edit | edit source]
Peux-tu présiser pourquoi les opérations deviennent impossible avec 80% de logement sociaux ?
Assistant: Voici une explication simple, rigoureuse et complète des raisons pour lesquelles un quota de 80 % de logements sociaux …[edit | edit source]
Voici une explication simple, rigoureuse et complète des raisons pour lesquelles un quota de 80 % de logements sociaux rend les opérations immobilières quasi impossibles dans la très grande majorité des communes — et plus encore dans une petite commune comme Bois-le-Roi.
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Dans une opération classique :
- les logements libres (vendus au prix du marché) dégagent une marge élevée ;
- les logements sociaux sont vendus aux bailleurs sociaux à des prix très bas et encadrés (40 à 60 % du prix du marché selon les zones) ;
- le promoteur équilibre son opération en croisant les deux.
👉 Les logements libres financent une partie du coût des logements sociaux.
- il ne reste que 20 % de logements libres pour absorber les coûts du foncier, de la construction, des VRD, des parkings, des aléas, des délais, des intérêts bancaires…[edit | edit source]
- la marge issue du libre devient insuffisante pour compenser la faible marge du social.
➡️ L’équation économique est arithmétiquement impossible.
Même dans les zones très tendues (Paris, Lyon), les promoteurs expliquent que au-delà de 35–40 %, les projets deviennent non viables sans subventions publiques massives.
Les bailleurs achètent les logements sociaux :[edit | edit source]
- à un prix plafonné par l’État (PLS, PLUS, PLAI),
- souvent inférieur de 50 à 70 % au prix du marché local.
Donc :
- plus la part de logements sociaux augmente,
- plus les recettes du promoteur s’effondrent.
Avec 80 %, la recette totale de l’opération devient trop faible pour couvrir les coûts réels de construction.
Aucun bailleur social ne peut compenser cela en payant plus cher : ils sont contraints par des barèmes nationaux.
Pour qu’une opération soit viable avec 80 % de social, il faudrait que :[edit | edit source]
- le foncier soit quasi gratuit,
- ou apporté gratuitement par la collectivité,
- ou acheté par un bailleur social avant montage de l’opération.
Or, dans 99 % des communes :
- le foncier est détenu par des propriétaires privés,
- ceux-ci refusent de vendre à un prix extrêmement bas,
- les promoteurs ne peuvent plus acheter à un prix correct car l’opération ne finance plus le coût du terrain.
➡️ Le marché foncier se bloque immédiatement.
Un promoteur engage :[edit | edit source]
- plusieurs millions d’euros avant même le dépôt du permis,
- puis encore plus en phase chantier,
- sans garantie ferme que le permis sera purgé de tout recours.
Avec 80 % de social, le risque est :
- élevé (opération fragile, marge inexistante),
- asymétrique (le promoteur supporte le risque, le bailleur achète à prix fixe),
- mal rémunéré (marge très faible ou négative).
Résultat :
👉 Les promoteurs renoncent immédiatement à intervenir dans la commune.
Même si un promoteur « voulait tenter », la banque analyse :[edit | edit source]
- un taux de social très élevé,
- une marge quasi nulle,
- un risque de commercialisation du libre insuffisant,
- un marché local pas assez tendu pour compenser les risques.
➡️ Le dossier est tout simplement refusé par la banque.
Cela peut paraître ironique, mais :[edit | edit source]
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C’est un phénomène bien documenté par :[edit | edit source]
- les études économiques des promoteurs (FPI),
- les bailleurs sociaux,
- les services d’urbanisme (CEREMA),
- les juridictions administratives lors de contentieux de PLU.
Dans de nombreuses communes SRU, on a observé :
- un quota trop élevé →
- fuite des promoteurs →
- gel quasi total des permis →
- effondrement du nombre de logements sociaux.
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Bois-le-Roi est :[edit | edit source]
- une commune non classée en zone très tendue,
- avec un marché immobilier de taille modeste,
- avec un prix du terrain non subventionné,
- et une absence d’offre foncière publique abondante.
➡️ Un quota de 80 % rend la quasi-totalité des opérations impossibles.
Non seulement pour le libre, mais même pour le logement social, faute de projets éligibles.
Un quota de 80 % est :[edit | edit source]
- économiquement irréaliste,
- opérationnellement inapplicable,
- contre-productif pour la production,
- rare et potentiellement juridiquement contestable dans un PLU.
Si vous voulez, je peux :
📌 vous faire un exemple chiffré montrant la non-viabilité d’un projet à 80 %, 📌 analyser le risque juridique de ce zonage (proportionnalité, erreur manifeste, etc.), 📌 rédiger une note explicative ou politique pour présenter ces conclusions.
User: La commune de Bois-le-Roi 77590 a également introduit des secteurs de mixité de type 2 localisés sur une vingtaine de t…[edit | edit source]
La commune de Bois-le-Roi (77590) a également introduit des secteurs de mixité de type 2 localisés sur une vingtaine de terrains éparpillés, souvent dans des jardins pavillonnaires de particuliers, dont la surface est inférieure à 1000 m², imposant la construction de 80% de logements sociaux dès le premier logement. Le nombre de logements sociaux étant arrondi à l’entier supérieur. Sachant que le plan local d’urbanisme autorise une emprise au sol de 30% maximum de la surface de l’unité foncière, et que la hauteur autorisée permet la construction de bâtiments R+1+combles maximum, ce second type de secteur de mixité sociale est-il davantage en mesure de favoriser la production de logement sociaux ?
Assistant: Voici une analyse précise, opérationnelle et structurée sur ce second type de secteur de mixité sociale, appliqué à des…[edit | edit source]
Voici une analyse précise, opérationnelle et structurée sur ce second type de secteur de mixité sociale, appliqué à des petites parcelles pavillonnaires (< 1 000 m²) avec 80 % de logements sociaux dès le premier logement, arrondi à l’entier supérieur.
❗ Conclusion d’emblée : non, ce dispositif n’est pas davantage en mesure de favoriser la production de logements sociaux.[edit | edit source]
En réalité, il aboutit à un blocage quasi total des opérations pour des raisons arithmétiques, foncières, réglementaires et économiques. Il est même encore plus inapplicable que le secteur généralisé sur toutes les zones urbaines.
Voici le détail.
1️⃣ Contraintes imposées par le PLU sur ces petites parcelles (< 1 000 m²)[edit | edit source]
• Emprise au sol maximale : 30 %[edit | edit source]
Sur un terrain de 1 000 m² : → Emprise = 300 m² maximum.
Sur un terrain de 600 m² (cas fréquent en zone pavillonnaire) : → Emprise = 180 m² maximum.
• Gabarit autorisé : R + 1 + combles[edit | edit source]
Cela permet généralement :
- petites maisons,
- ou petits immeubles de 3 à 5 logements maximum (selon la typologie),
- en aucun cas des programmes denses avec 10–15 logements.
👉 On est dans la logique du logement individuel ou du petit collectif, pas dans la production structurée de logement social.
2️⃣ Effet du quota 80 % de logements sociaux dès le premier logement, arrondi à l’entier supérieur[edit | edit source]
C’est ici que le dispositif devient inapplicable.
Exemple sur 1 logement :[edit | edit source]
1 logement × 80 % = 0,8 → arrondi à 1 → Toute maison individuelle = 100 % logement social => Inenvisageable dans un jardin pavillonnaire.
Exemple sur 2 logements :[edit | edit source]
2 × 80 % = 1,6 → 2 logements sociaux → Les deux logements doivent être sociaux.
Exemple sur 3 logements :[edit | edit source]
3 × 80 % = 2,4 → 3 logements sociaux → Les trois doivent être sociaux.
Seuil où un logement libre apparaît :[edit | edit source]
Il faut produire 5 logements minimum pour que 80 % = 4 → donc 1 logement libre.
👉 Mais ces parcelles ne permettent généralement pas de construire 5 logements, même en R+1+combles, du fait de l’emprise au sol, du recul, des stationnements, des accès, etc.
🧮 Conséquence arithmétique : la quasi-totalité des opérations devient interdite de fait[edit | edit source]
Sur un terrain de 400 à 800 m² :
- impossible d’implanter 5 logements,
- donc impossible d’autoriser le moindre logement libre,
- donc toute opération doit être 100 % sociale.
Or :
- les bailleurs sociaux n’achètent jamais des parcelles pavillonnaires isolées pour y construire 1 ou 2 logements,
- le coût du foncier pavillonnaire est trop élevé pour du logement social diffus,
- les petites opérations de 1 à 3 logements sociaux sont extrêmement déficitaires et donc non réalisées.
Résultat :
👉 aucune opération ne se fait.
3️⃣ Pourquoi les bailleurs sociaux ne construiront pas sur ces terrains ?[edit | edit source]
❌ Trop petit[edit | edit source]
Un bailleur cherche en général :
- des terrains de 1 500 à 3 000 m² minimum,
- permettant de produire 10 à 20 logements,
- afin de mutualiser les coûts, rationaliser la gestion et sécuriser la qualité des logements.
Sur 300 à 500 m² : → Le coût par logement explose.
❌ Trop cher[edit | edit source]
Les parcelles pavillonnaires ont un prix de marché (en secteur résidentiel) incompatible avec les plafonds d’acquisition du logement social.
❌ Trop dispersé[edit | edit source]
20 micro-secteurs dispersés = → gestion impossible, → coûts d’exploitation élevés, → refus quasi systématique des bailleurs.
❌ Absence d’économie d’échelle[edit | edit source]
Construire 1 ou 2 logements sociaux coûte beaucoup plus cher par logement que d’en construire 15 ou 20.
Résultat : 👉 Aucun bailleur n’accepte ce modèle économique.
4️⃣ Conclusion opérationnelle : le dispositif a un effet dissuasif total[edit | edit source]
Le combo suivant :
- petites surfaces,
- faible gabarit (R+1+combles),
- emprise 30 %,
- 80 % sociaux avec arrondi au supérieur,
- obligation dès le premier logement,
produit un résultat mécanique :
➤ Les propriétaires ne vendent pas.[edit | edit source]
Un terrain qui devait accueillir une maison pour un enfant ou un second pavillon doit devenir… un programme 100 % social.
➤ Les promoteurs privés ne peuvent pas intervenir.[edit | edit source]
Ils ne savent pas produire un logement social isolé ni rentabiliser une opération 100 % sociale sur un petit terrain.
➤ Les bailleurs sociaux n’achètent pas ces terrains.[edit | edit source]
Ils n’ont pas de raison économique de construire 1 à 3 logements coûteux.
➤ Donc aucune opération de logement social n'est réalisée.[edit | edit source]
Ce type de zonage est bloquant, non productif.
🟥 Verdict : ce « secteur de mixité sociale de type 2 » n’est absolument pas en mesure de favoriser la production de logements sociaux.[edit | edit source]
Il produit exactement l’effet inverse :
➤ Il interdit de fait toute opération de logement collectif.[edit | edit source]
➤ Il empêche la production de logements libres.[edit | edit source]
➤ Il empêche la production de logements sociaux.[edit | edit source]
➤ Il désincite le marché et gèle la mutation urbaine.[edit | edit source]
C’est l’un des dispositifs les plus contre-productifs qu’un PLU puisse adopter.
Si vous le souhaitez, je peux vous fournir :[edit | edit source]
📌 une analyse juridique (proportionnalité, détournement de pouvoir, erreur manifeste d’appréciation), 📌 un exemple chiffré montrant l’impossibilité économique d’une opération sur 600 m², 📌 une note explicative démontrant pourquoi ce dispositif empêche le rattrapage SRU, 📌 un schéma ou graphique illustrant le blocage arithmétique.
Souhaitez-vous un de ces compléments ?
gpt-5-1-thinking[edit | edit source]
User: Sais-tu s'il existe des communes en France des communes qui ont mis en place un tel secteur de mixité sur tout leur ter…[edit | edit source]
Sais-tu s'il existe des communes en France des communes qui ont mis en place un tel secteur de mixité sur tout leur territoire ?
Assistant: Oui… et non 😅[edit | edit source]
Oui… et non 😅
Ça dépend si vous parlez uniquement :
- du périmètre (toutes les zones urbaines en “secteur de mixité sociale”), ou
- du niveau du quota (ici 80 % de logements sociaux).
On trouve plusieurs exemples où le PLU(i) place toutes les zones urbaines (U, parfois U+AU) en “secteur de mixité sociale” au sens de l’article L151-15 :[edit | edit source]
- PLUi de Saint-Lô Agglo – commune d’Agneaux : le contrat de mixité sociale indique que le projet de PLUi “fixe sur le territoire de la commune d’Agneaux l’ensemble des zones U en secteur SMS” (secteur de mixité sociale). rapportenligne.manche.fr[2]
- Grand Paris Seine & Oise (GPSEO) : une notice d’urbanisme précise que « les secteurs de mixité sociale couvrent toutes les zones urbaines mixtes (UA, UB, UC et UD) ». GPSEO[3]
- Métropole de Lyon – PLU-H : le règlement évoque une servitude “secteur de mixité sociale” applicable à l’ensemble des zones U et AU du territoire communautaire. plu.grandlyon.com[4]
- Exemples plus locaux, type communes de première couronne : certains PLU ou PLUi instaurent un secteur de mixité sociale sur toutes les zones urbaines (UA, UB, UC, etc.), parfois dans le cadre d’une modification ou d’une simplification du PLU. mairie-boissise-le-roi.fr[5]
Donc : l’idée de mettre tout le tissu urbain en “secteur de mixité sociale” n’est pas inédite. Elle existe, surtout dans des territoires sous forte pression où l’on veut encadrer systématiquement la production de logements.
Sur le niveau du quota, c’est une autre histoire :[edit | edit source]
- Les études et retours d’expérience (APUR, Union sociale pour l’habitat, CEREMA…) montrent des quotas typiques entre 20 % et 40 % de logements sociaux dans les secteurs de mixité sociale. Apur[6]
- On trouve des secteurs à 30 % ou 40 % dans de nombreux PLU/PLUi récents. Rhone[7]
- Quand le chiffre 80 % apparaît, c’est plutôt dans les textes sur les contrats de mixité sociale (CMS) ou la répartition des objectifs SRU (par exemple : “80 % de l’effort de rattrapage à porter en logements sociaux”), pas comme quota opérationnel imposé à chaque programme dans le PLU. aurg.fr[8]
👉 Je n’ai trouvé aucune commune qui impose, dans son PLU, un quota uniforme de 80 % de logements sociaux sur toutes les opérations de logements collectifs et sur l’ensemble des zones urbaines. Si cela existe, ce serait très marginal et probablement contestable, à la fois économiquement et juridiquement.
- Sur la logique “toutes les zones urbaines en secteur de mixité sociale” : ✅ Oui, il existe des précédents (mais ça reste une stratégie relativement volontariste et pas majoritaire).[edit | edit source]
- Sur la combinaison “toutes les zones urbaines” + “80 % de logements sociaux dans chaque opération de collectif” : ⚠️ Je ne trouve pas d’exemple documenté en France. Tout ce que l’on voit dans la pratique tourne autour de 20–40 %, parfois 50 %, mais pas 80 %, surtout pas généralisé à tout le territoire urbain.
Si vous voulez, je peux ensuite vous aider à formuler un argumentaire montrant que ce calibrage (80 % partout) est hors normes nationales, à la fois en termes de pratique urbanistique et de viabilité économique, ce qui peut être utile dans un mémoire, un recours ou une note politique locale.
References[edit | edit source]
- ↑ "Mixité sociale et quota". ChatGPT. Retrieved 2025-12-07.
- ↑ "rapportenligne.manche.fr". rapportenligne.manche.fr. Retrieved 2025-12-07.
- ↑ "GPSEO" (PDF). gpseo.fr. Retrieved 2025-12-07.
- ↑ "plu.grandlyon.com" (PDF). plu.grandlyon.com. Retrieved 2025-12-07.
- ↑ "mairie-boissise-le-roi.fr" (PDF). mairie-boissise-le-roi.fr. Retrieved 2025-12-07.
- ↑ "Apur" (PDF). apur.org. Retrieved 2025-12-07.
- ↑ "Rhone" (PDF). rhone.gouv.fr. Retrieved 2025-12-07.
- ↑ "aurg.fr" (PDF). aurg.fr. Retrieved 2025-12-07.